Semi-Marathon de Colmar

Mon premier semi-marathon, je l’ai couru à Colmar. À l’époque, j’étais tout nouveau dans la course à pied : je n’avais commencé à courir que pendant l’été 2024, entre juin et juillet. L’année précédente, je pesais 95 kg et je m’étais à peine initié aux sports cardio pour perdre un peu de poids. Mais cet été-là, j’ai décidé de me lancer sérieusement dans la course à pied, d’abord pour continuer à perdre du poids, surtout pour créer un lien fort avec mon père, et aussi pour me lancer un défi que je pouvais partager sur les réseaux. Mon objectif était de prouver que, dans n’importe quel domaine, quand on se donne les moyens, qu’on y va à fond et qu’on s’investit pleinement, il est possible en seulement trois mois de devenir très bon. Trois mois, c’était la timeline que je m’étais fixée avant ce semi-marathon : mon but était de montrer qu’avec de la détermination et tout son cœur, on peut accomplir des exploits impressionnants. Ce semi-marathon représentait plus qu’une course : c’était notre première course officielle ensemble avec mon père, mais aussi personnellement, un symbole fort, une manière de tisser notre relation et de découvrir ce sport avec lui. Et cette décision a été le point de départ d’une passion, puis une obsession, pour les sports d’endurance. (Puis ultra endurance) La performance que j’ai réalisée ce jour-là m’a vraiment surpris. Semi en 1h38 avec mes 82kg. Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre et je n’espérais pas atteindre un tel résultat. Mais ce jour-là, j’ai compris qu’avec des tripes, une préparation calculée et de la désillusion, il est possible d’accomplir des exploits qui semblent hors de portée. J’aimerais beaucoup me retester sur ce format pour atteindre la barre des 1h30, même si aujourd’hui, je me retrouve davantage dans le trail et l’aventure que dans les courses sur route et sur du plat, où je ressens moins cette passion pour l’exploration.

Mon premier semi-marathon, je l’ai couru à Colmar. À l’époque, j’étais tout nouveau dans la course à pied : je n’avais commencé à courir que pendant l’été 2024, entre juin et juillet. L’année précédente, je pesais 95 kg et je m’étais à peine initié aux sports cardio pour perdre un peu de poids. Mais cet été-là, j’ai décidé de me lancer sérieusement dans la course à pied, d’abord pour continuer à perdre du poids, surtout pour créer un lien fort avec mon père, et aussi pour me lancer un défi que je pouvais partager sur les réseaux. Mon objectif était de prouver que, dans n’importe quel domaine, quand on se donne les moyens, qu’on y va à fond et qu’on s’investit pleinement, il est possible en seulement trois mois de devenir très bon. Trois mois, c’était la timeline que je m’étais fixée avant ce semi-marathon : mon but était de montrer qu’avec de la détermination et tout son cœur, on peut accomplir des exploits impressionnants. Ce semi-marathon représentait plus qu’une course : c’était notre première course officielle ensemble avec mon père, mais aussi personnellement, un symbole fort, une manière de tisser notre relation et de découvrir ce sport avec lui. Et cette décision a été le point de départ d’une passion, puis une obsession, pour les sports d’endurance. (Puis ultra endurance) La performance que j’ai réalisée ce jour-là m’a vraiment surpris. Semi en 1h38 avec mes 82kg. Je ne savais pas du tout à quoi m’attendre et je n’espérais pas atteindre un tel résultat. Mais ce jour-là, j’ai compris qu’avec des tripes, une préparation calculée et de la désillusion, il est possible d’accomplir des exploits qui semblent hors de portée. J’aimerais beaucoup me retester sur ce format pour atteindre la barre des 1h30, même si aujourd’hui, je me retrouve davantage dans le trail et l’aventure que dans les courses sur route et sur du plat, où je ressens moins cette passion pour l’exploration.